Les incendies historiques qui ravagent les quartiers chics de Los Angeles mettent à nue la folie progressiste des élites californiennes qui ont choisi de couper les budgets de la police et des pompiers pour financer une utopie d’inclusion. En première ligne, la maire ultra-woke de la cité des anges, et son incompétence crasse.

Depuis plusieurs jours, Los Angeles est en proie à des incendies d’une intensité rarement atteinte. Beverly Hills, Bel Air et d’autres enclaves emblématiques de la ville voient des propriétés luxueuses réduites en cendres. Si le changement climatique est souvent pointé du doigt dans ces catastrophes, une autre réalité s’impose : la mauvaise gestion des ressources municipales.

La maire Karen Bass, fervente promotrice des programmes progressistes, est au centre de la controverse. Alors que les pompiers peinent à contenir les flammes, la gestion municipale des dernières années est scrutée avec sévérité. Depuis son élection, Bass a privilégié des initiatives d’inclusion et de justice sociale, au détriment des services essentiels comme les forces de l’ordre ou les pompiers. Le budget alloué à ces derniers a connu des coupes successives, alors même que la ville fait face à des risques climatiques accrus.

Plus encore, la maire a suscité l’indignation en restant à l’étranger pour un sommet sur la diversité au moment où les incendies ont commencé. Ce voyage, perçu comme déconnecté des priorités locales, a provoqué un tollé chez les habitants. Déjà critiquée pour son manque de pragmatisme, Karen Bass incarne pour beaucoup l’échec d’une gouvernance trop idéologique.

Une fronde venue d’Hollywood

Dans un retournement inattendu, même certaines personnalités influentes d’Hollywood, traditionnellement alignées avec les démocrates, commencent à exprimer leur exaspération. Des célébrités comme Jennifer Aniston ou Leonardo DiCaprio, eux-mêmes touchés par ces incendies, ont publiquement appelé à une meilleure préparation face aux catastrophes. Ces voix, jusqu’ici ferventes défenseures des programmes progressistes, signalent un changement d’état d’esprit face à une crise qui frappe directement leur quotidien.

En conclusion, les incendies de Los Angeles sont bien plus qu’une catastrophe naturelle. Ils mettent en lumière les conséquences concrètes d’une gestion focalisée sur des priorités à court terme et des choix politiques discutables. Alors que les flammes continuent de dévorer la cité des anges, l’avenir politique de Karen Bass semble également en train de partir en fumée.

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